Celui qui te croyais petit n’a rien compris !

ScreenShot981Humaniste du quotidien, homme de sincérité, tu étais, peut-être sans le savoir, l’inspiration pour celui qui sait voir !

Ton humilité transcendait autant qu’il inspirait.

Tu étais le chênes, grand, fort et enraciné. tel le vent qui animent les branches, je vois toujours tes mains s’agiter, inspiré par le souvenir d’une histoire que tu nous communiquais

J’ai ce souvenir précieux de St’Calixe où, a la rosé tu sirotais ton café seul et heureux.

A la descente de l’escalier, gamin, j’appréciais déjà ton esprit contemplatif et silencieux. Ton regard a la nature était senti.

A ma venu, tu sortais de ta méditation et tu y allais d’un bonjour sincère d’égal a égal. Tu n’avais pas cette attitude de supériorité que trop d’adultes ont face à un enfant.

Tu savais garder le silence devant l’arrogance et la stupidité ! Ton silence était puissant et éloquent !

Tu étais et sera toujours le pied de nez a l’arrogance.

Ces quelques heures à tes côtés au travail (tu t’en souvenais plus, mais oui j’ai travaillé à tes côtés quelques semaines) ou a la campagne, je les garde pour moi.

Sans le savoir tu as semé les graines de la candeur et de la sincérité !

Celui qui te crois petit n’a rien compris !

À la prochaine Réjean !

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